J’essaie de construire ce site en accords avec la philosophie dite du « jardin numérique » ou « digital garden » (telle que décrite par Maggie Appleton ici). À la manière d’un petit jardin ou d’une forêt, ce site web va lentement évoluer et prospérer. Comme le feraient des racines, les pages grandiront au fur et à mesure que j’essaierai de définir l’art des entrelacs. Comme le mycélium des champignons, j’essaierai de tisser une toile de connaissances entre tous les sujets liés aux motifs d’entrelacs et à toutes les formes de nœuds et tresses dans l’art.
Certaines pages seront courtes et donneront l’impression de nécessiter plus de travail : les jeunes pousses, elles seront signalées par 🌱.
D’autres pages auront été un peu plus recherchées et nettoyées : les branches 🌿.
Et enfin des articles complets ou des pages où je me suis étendu avec précision sur une question, un artiste ou une œuvre : les arbres 🌳.
Mais pourquoi ?
La construction conventionnelle d’un site web se fait souvent de manière hiérarchique et linéaire alors qu’un jardin numérique est plus organique dans sa manière d’ajouter de la complexité au fil du temps. Comme j’essaie d’explorer les entrelacs et les nœuds ici, il serait dommage de ne pas construire le site web comme un réseau de recherches et de partage d’art en constante évolution, comme un entrelacs d’informations sur ce sujet étonnant, en ajoutant de nouveaux fils au fur et à mesure que nous avançons ensemble dans ce voyage.
De plus, cela me permet de partager plus facilement et vous ne devez pas vous sentir frustrés par le manque de contenu : la prochaine fois que vous viendrez, les pages se seront agrandies et de nouvelles œuvres seront là pour que vous puissiez les explorer.